AVERTISSEMENT certains propos tenus dans ce blog peuvent être choquants. la lecture de ce journal est à votre discretion.
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your presence still lingers here
Sky’ tu sais, tu peux aller dormir si tu es fatiguée. La fillette ouvrit les yeux et regarda sa même avant d’hocher la tête. Je ne suis pas fatiguée. Réorqua-t-elle, ses petits yeux la trahissant. Pour seule réaction, sa mère roula les yeux et continua sa conversation avec son frère. Skylar, quant à elle, écoutait à moitié toutes les conversations qui se déroulaient dans la pièce. Les festivités allaient de bon train et elle aurait bien aimé participer un peu plus longtemps, mais elle devait se rendre à l’évidence, elle était exténuée. Je vais dormir. Annonça-t-elle finalement, ne pouvant plus résister au sommeil qui, tranquillement, la gagnait. Bonne nuit. Lança sa famille à l’unisson. Elle sourit, leur jetant un dernier regard avant de montrer lentement les escaliers jusqu’au second étage ou se trouvait sa chambre. Une fois arrivée dans la pièce, elle ferma la porte et alla s’emparer d’une pair de shorts et d’un t-shirt trop grand que son père ne portait plus – elle en avait prit possession, il était si confortable après tout – et troqua son jeans et sa blouse pour sa tenue plus confortable. Elle glissa ensuite sous les couvertures et attrapa son ourson en peluche, vestige de son enfance, et le serra tout contre elle avant de fermer les yeux, se laissant emporter par les bras de Morphée vers le doux monde des rêves. La paix et la sérénité que lui apportèrent ses songes ne durèrent pourtant pas longtemps.

On poussa avec précaution la porte de sa chambre, son antre, le seul endroit dans la maison ou personne ne pouvait s’introduire – sauf sa mère, bien entendu – et on voilà du même coup son intimité. Enfin, à 12 ans, on n’a pas un tas de choses à cacher hormis peut-être le nom du garçon pour qui on craque – et même là, les cœurs sur les cahiers et le regard songeur en disent souvent plus long que les mots – mais tout de même, c’était le principe. Cet espace qui lui était réservé dans la maison n’étais plus uniquement sien. Enfin, ce n’était là que le cadet de ses soucis puisque la personne qui venait d’y pénétrer avait bien d’autres intentions en tête que de regarder son journal intime; des intentions beaucoup plus malicieuses que ça. Refermant avec autant de précaution, il ferma la porte derrière lui. On ne les dérangerait pas du coup… ou plutôt, on ne le dérangerait pas. L’homme s’approcha à pas lents du lit ou dormait paisiblement Skylar, profondément endormie, le sommeil imperturbable. Une fois arrivé aux côtés de la couchette, il laissa glisser un de ses doigts sur sa tempe, replaçant ainsi une mèche de cheveux qui était tombée devant ses yeux. Elle était belle, Skylar, lorsqu’elle dormait paisiblement. Elle était jeune et innocente et ça l’attirait. Il fait dire qu’elle commençait à avoir des courbes et qu’elle devenait plus femme qu’elle n’était enfant. Voyant que la fille-femme ne bougeait pas, n’était pas dérangée par les gestes tendres à son égard, il s’autorisa à plus. Après tout, c’était pour ça qu’il était ici, parce qu’il voulait plus. L’homme s’allongea aux côtés de sa nièce et laissa ses mains glisser sous son t-shirt trop grand, caressant ses petits seins qui se formaient à peine. Il aimait la sensation de sa peau sous la sienne, ça lui procurait du plaisir. Tranquillement, Skylar ouvrit les yeux à cet instant, lorsque les grandes mains rugueuses caressèrent sa poitrine… enfin pour ce qu’elle en avait. Shhh. Murmura l’homme lorsque les perleschocolaté es rencontrèrent ses yeux azur. Rendors-toi. Elle ne savait pas si c’était un rêve étrange ou si c’était la réalité et ferma donc à nouveau les yeux, espérant que la vision se dissipe. Sans succès. Les mains glissèrent le long de son corps pour finalement aller lui retirer son short. Que fait-il? Elle savait pertinemment que, dans sa famille maternelle, on était très tactile. Alors peut-être n’était-ce qu’une autre façon, beaucoup plus tactile certes, de lui montrer son affection? Elle ne savait pas. Elle ne savait pas, non, mais elle eut rapidement des réponses aux questions qui fusaient de part et d’autre dans sa tête. Lorsqu’il glissa sa main dans son sous-vêtement, elle comprit. Ce n’était pas un rêve. Ce n’était pas simplement une façon de lui montrer son affection. Elle n’avait pas encore le terme pour décrire ce que c’était, mais elle pouvait ressentir que c’était mal. Pourtant, comme prise par surprise, elle resta immobile, allongée sur le dos, incapable du moindre mouvement tandis qu’il la déshabillait, ne lui laissant que son t-shirt sur le dos. Elle ferma les yeux lorsqu’elle le vit retirer la ceinture de son pantalon. Elle ne voulait pas voir la suite. Ce n’était pas fait pour des yeux purs et chastes. Ce n’était pas des images qu’une petite fille de son âge devait voir. Un cri de douleur étouffé s’échappa d’entre ses lèvres lorsqu’il parvint à ses fins. Chacun des mouvements qui suivirent furent accompagnés par quelques larmes qui coulaient sur ses joues. Impuissante, elle le laissa faire, ne priant que pour que tout s’arrête le plus rapidement possible.

la suite viendra sous peu.
# viol # enfance # tag